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Astuces pour avoir chaud

 Voici quelques astuces pour avoir chaud :

  1. Vêtements chauds : portez des vêtements chauds en matériaux isolants tels que la laine ou le duvet.

  2. Bouger : bougez régulièrement pour stimuler la circulation sanguine et la production de chaleur.

  3. Boissons chaudes : buvez des boissons chaudes telles que du thé ou du café pour augmenter votre température interne.

  4. Couverture : utilisez une couverture pour vous envelopper et maintenir la chaleur.

  5. Évitez les courants d'air : fermez les fenêtres et les portes pour éviter les courants d'air frais.

  6. Exercice physique : faites de l'exercice physique pour produire de la chaleur et stimuler la circulation sanguine.

  7. Alimentation : mangez des aliments riches en calories pour produire de la chaleur à travers le métabolisme.

Ces astuces peuvent vous aider à vous réchauffer lorsque vous avez froid, mais il est important de ne pas s'exposer à des températures extrêmement basses pour éviter le risque de hypothermie.


Voici quelques aliments qui peuvent aider à avoir chaud :

  1. Épices : les épices telles que le gingembre, le curcuma et le poivre noir peuvent augmenter la température interne et stimuler la circulation sanguine.

  2. Viandes : les viandes telles que le poulet et le bœuf sont riches en protéines qui peuvent aider à produire de la chaleur à travers le métabolisme.

  3. Grains entiers : les grains entiers tels que le riz brun et le quinoa sont riches en calories et peuvent aider à produire de la chaleur à travers le métabolisme.

  4. Fruits secs : les fruits secs tels que les noix et les amandes sont riches en calories et peuvent aider à produire de la chaleur à travers le métabolisme.

  5. Soupes et bouillons : les soupes et les bouillons chauds peuvent augmenter la température interne et stimuler la circulation sanguine.

Il est important de noter que ces aliments peuvent aider à avoir chaud, mais qu'une alimentation équilibrée et saine est toujours la meilleure façon de maintenir une bonne santé.

Comment la nourriture affecte-t-elle la santé du cerveau?


Comment la nourriture affecte-t-elle la santé du cerveau?




      Beaucoup de gens, en particulier les étudiants pendant la période d'étude, souffrent d'un manque de concentration et de sommeil, de retards dans l'étude et l'atteinte, et de l'apparition de tensions et parfois de dépression, sans en connaître les raisons claires, et ce que beaucoup de gens ne savent pas, c'est que cela a à voir avec la santé du système digestif.

    Le site Web  Dailyhealthpost a révélé une étude qui explique l'effet des bactéries bénéfiques de l'estomac sur le fonctionnement du cerveau, les bactéries bénéfiques vivent à l'intérieur du système digestif depuis la naissance, et il y a plus de 500 familles appelées probiotiques, et elles ont de nombreux avantages pour la santé humaine, notamment en abaissant le taux de cholestérol dans le sang, en stimulant le système immunitaire, ainsi que la formation de vitamine B & K, et ils produisent une substance similaire à son antibiotique pour combattre les bactéries nocives.

Un lien entre les cellules de notre cerveau et de nos intestins 


     La connexion entre les bactéries intestinales et les cellules cérébrales est assurée par le nerf  vague, elle joue un rôle important dans les fonctions cérébrales et contrôle les problèmes psychologiques et d'humeur .

      L'étude suppose que certaines maladies mentales, telles que l'autisme, sont associées à des troubles gastro-intestinaux, en plus de la relation étroite qui combine les maladies gastro-intestinales avec l'anxiété et le stress psychologique.

    L'étude a également montré que l'exposition au stress conduit en permanence à un déséquilibre de l'équilibre bactérien dans l'intestin, qui devient moins nombreux et répandu, et à des bactéries nuisibles telles que les bactéries "cholestéridies".

      L'étude a indiqué que les bactéries nocives rivalisent avec les bactéries bénéfiques, et si vous gardez votre estomac en bonne santé en mangeant des aliments sains, les bactéries nocives vont diminuer et mourir.

 Conseils importants pour un système digestif sain


  •  Évitez le sucre autant que possible car il stimule la croissance des bactéries et des champignons nuisibles.
  • Utilisez de l'huile d'olive pour cuisiner, car elle contient moins de graisses saturées et est bonne pour la santé de l'esprit.
  • Évitez autant que possible de manger de la viande rouge, car elle contient un grand pourcentage de graisses saturées qui modifient la nature des cellules cérébrales et provoquent des maladies telles que la maladie d'Alzheimer.
  • Mangez des aliments qui contiennent des probiotiques, comme le yogourt, le chocolat noir et les cornichons aigres.
  • Évitez de prendre des antibiotiques autant que possible car ils nuisent aux bactéries intestinales bénéfiques.


Rédaction : Oulaya El Abdioui



La spiruline , un aliment miracle?


La  spiruline , un aliment miracle?


Depuis très longtemps la spiruline est réservée aux soins de bien-être et de beauté, car utilisée parfois en masque, ou bien même pour combattre la malnutrition en Afrique, la spiruline tend à se démocratiser dans l’univers de la nutrition. Cela fait plusieurs années qu’elle intègre des régimes particuliers et que ses bienfaits sont vantés par les professionnels de santé.

La spiruline, que l’on trouve aujourd’hui sous la forme de poudre ou de comprimés, est une bactérie photosynthétique qui évolue en eau douce.

Un atout santé par excellence :


Et dans ce monde où notre alimentation est polluée, la spiruline se présente comme un détoxifiant d’excellence. Elle contribue à l’évacuation des radicaux libres, toxines et métaux lourds contenus dans l’alimentation moderne. Ce pouvoir se complète par la chlorophylle contenue dans la spiruline. Cette substance dispose d’une structure proche de celle de l’hémoglobine. De ce fait, elle favorise la capacité du sang à conduire l’oxygène dans l’organisme.

La spiruline est un aliment incroyable doté d’une importante diversité de vitamines, de minéraux et d’oligo-élémentsCette cyanobactérie est connue pour sa teneur particulière en fer, mais contient aussi des acides gras insaturés qui sont essentiels à l’organisme.

Les nombreux bienfaits de la spiruline :


Les bienfaits de la spiruline sont très nombreux, et varient très largement. En premier lieu, l’algue permet de renforcer considérablement le système immunitaire et donc, de lutter contre le développement de certaines maladies et infections. La spiruline est compatibles avec d’autres supers aliments tels que la gelée royale. Elle est également utilisée chez les sportifs, les personnes convalescentes, les femmes enceintes ou allaitantes, ainsi que tous ceux et toutes celles qui souhaitent perdre du poids.

La spiruline que l’on consomme aujourd’hui se trouve toujours essentiellement sous forme sèche. On la trouve donc le plus souvent en gélules, en comprimés, en paillettes ou en poudre.
Choisir une spiruline pure et naturelle
La spiruline choisie doit être pure, et non mélangée à d’autres composants. Cela permet de s’assurer de bénéficier de ses bienfaits, tout en limitant les risques liés à sa consommation. Il faut donc bien vérifier son origine. La qualité de la spiruline dépend en grande partie de ce critère. Si l’algue pousse dans des milieux malsains et donc pollués, elle pourrait contenir de fortes concentrations en métaux lourds. La spiruline doit donc provenir de zones de cultures saines et protégées, et notamment des pays d’où elle est originaire.

Associer la spiruline à la vitamine C :


La spiruline est très riche en fer. La vitamine C, que l’on nomme aussi acide ascorbique, a la particularité d’activer l’assimilation du fer non hermétique par l’organisme (le fer d’origine non animale).  
Les personnes qui recherchent un meilleur apport en fer pourront se tourner vers cette association et augmenter leur consommation de vitamine C.

LA SPIRULINE : UNE ALGUE SANS DANGER ?

Il n’y a aucune contre-indication pour la spiruline et l’ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire) indique que “la consommation de doses raisonnables de spiruline est sans danger, sans terrain allergique particulier”.
Pour éviter tout risque, il convient ainsi de respecter les doses journalières recommandées, et par manque d’études et de données sur le sujet, de ne pas consommer de spiruline dans certains cas.
La spiruline est notamment déconseillée :
  • par précaution : pour les femmes enceintes ou qui allaitent, sans recommandation de leur médecin ;
  • si vous prenez un autre traitement, dans le but d’éviter les interactions.
Pour qui la spiruline est-elle interdite ?

  • Pour les personnes allergiques aux algues ou aux acides aminés.
  • Pour les personnes souffrant de la goutte, de la phénylcétonurie, de la polyarthrite rhumatoïde, de la sclérose en plaque ou d’une maladie auto-immune.
  • Pour les personnes qui effectuent une chimiothérapie (les composants antioxydants pourraient protéger les cellules cancéreuses et rendre le traitement inefficace).
  • Pour les rares personnes souffrant de problèmes d’hémochromatose. À la forte teneur en fer, la spiruline pourrait en effet accentuer l’excès de fer dans le sang qui caractérise cette maladie, et entraîner des problèmes aux articulations, au foie ou au pancréas.
  • Pour les personnes souffrant d’insuffisance rénale : l’apport important en protéines de la spiruline pourrait leur être néfaste.  
Pour acheter spiruline certifiée je vous conseille vivement  celui-là : Spiruline BIO Origine France



Oulaya 


Fluor : un scandale sanitaire enfin médiatisé

Fluor : un scandale sanitaire enfin médiatisé


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Depuis 2012, Au Bon Sens et E&R ont pris soin de régulièrement vous informer sur les dangers du fluor (présent entre autres dans le dentifrice et le sel raffiné) et de ses dérivés perfluorés, notamment le Téflon.
En avril 2016, France 5 a décidé de « déclassifier » médiatiquement le dossier Fluor dans un documentaire d’Audrey Gloagen intitulé « Fluor, un ami qui vous veut du mal ». Jusqu’alors, les médias « mainstream » semblaient mal à l’aise vis-à-vis de ce sujet de santé publique, qu’ils avaient négligé pendant si longtemps, allant jusqu’à promouvoir la consommation du fluor dans de nombreuses publicités.
L’enquête d’Audrey Gloagen commence évidemment comme un polar, les journalistes aimant se mettre en scène en se donnant le beau rôle. Après un échange de SMS avec son « rédac » qui l’informe du danger du fluor, la journaliste décide d’aller exhumer les archives des aciéries Schneider du Creusot en Bourgogne et découvre un rapport « Pollution » de 1970 précisant que le fluor était utilisé pour faire fondre l’acier dans les hauts fourneaux et dégageait des fumées toxiques. Les fluoroses dentaires s’étaient développées dans la population environnante et les élevages de Charolais voisins.

Caries et fluoroses dentaires (sucre raffiné et dentifrice au fluor)

Parmi les dangers du fluor, la fluorose dentaire est l’une des pathologies les « moins graves » mais de plus en plus fréquente chez les enfants : des tâches inesthétiques sur les dents avec destruction de l’émail (qui rend le patient très sujet aux caries). Car la consommation du fluor s’avère toxique dès 1 mg par jour pour les enfants et 4 mg pour les adultes.
On le retrouve dans notre eau, nos dentifrices, nos poêles, nos sels, nos vêtements et sa toxicité inquiète désormais les scientifiques du monde entier.
« Un professeur connaît le fluor plus que quiconque pour en avoir fait l’objet de sa thèse. Anne-Marie Musset dirige l’un des plus grands pôles de chirurgie dentaire de France. À la faculté de Strasbourg, il lui arrive de voir régulièrement des problèmes d’intoxication au fluor. »

Elle conseille aux parents de réduire au maximum la quantité de dentifrice au fluor sur la brosse à dents de leurs enfants. En mars 2009, l’impression sur les boites de dentifrice au fluor de la dose « taille d’un petit pois » pour les enfants a été imposé par une loi. Le Pr Musset explique :
« Les fluoroses qu’on voit en France, dans 80% des cas, ce sont des enfants qui ont avalé du dentifrice à trop forte dose. »
Il s’agit de la fluorose humaine. Le fluor, ingéré à forte dose, entraîne de graves problèmes osseux et, à une dose moindre, provoque une fluorose dentaire : des traces horizontales et des taches brunes apparaissent sur les dents et l’émail est progressivement détruit.



Un poison embarrassant pour les multinationales

La société américaine Alcoa a connu dans les années 1930 un problème majeur avec le fluor. Tout comme Schneider en France, Alcoa génère des fumées toxiques en extrayant l’aluminium grace au fluor. Inquiète des risques de procès, Alcoa enquête à partir de 1931 sur des cas de fluorose dentaire autour de son usine de Massena dans l’État de New York. Dans un courrier interne, la société mentionne que de nombreux dentistes ont observé des cas d’émail tacheté sur les dents de leurs patients. La contamination des eaux inquiète notamment la société qui pourrait à terme voir des malades se retourner contre elle pour des problèmes de fluorose dentaire, de thyroïdite et d’arthrite. Selon deux spécialistes américains interrogés lors du reportage, dans et autour des usines, les cas d’empoisonnements se multipliaient et Alcoa avait besoin d’arguments pour se défendre face aux tribunaux et de faire ressortir les aspects positifs du fluor.
« La réponse à son problème, Alcoa va la trouver à l’Institut Mellon, un laboratoire de sciences appliquées de Pittsburgh que le géant de l’aluminium a lui-même créé pour servir les intérêts des industriels. L’institut a déjà été utile pour légitimer l’amiante, par exemple. 
En 1935, un scientifique, Gerald Cox, y travaille. Il réalise une étude sur les dents en utilisant des rats de laboratoire. Un homme va sortir de l’ombre et venir à sa rencontre : il s’appelle Francis Frary, il est le directeur de recherche d’Alcoa et va fortement suggérer à Cox d’introduire la fluor dans son étude. »
Il s’agit d’identifier le rôle bénéfique du fluor sur les caries afin de compenser tous les autres aspects négatifs du produit. Gérald Cox reconnaîtra cette collusion lors d’une correspondance avec un historien en 1956.
« Le poison vient de devenir un remède. L’institut Mellon annonce quatre ans plus tard dans une revue scientifique que le fluor est probablement l’élément permettant aux dents d’être plus résistantes à la carie. (…) C’est ainsi qu’une petite manœuvre a fabriqué la grande histoire du fluor. Plus personne ne songera à la remettre en cause pendant des décénies. »
Après la Seconde Guerre mondiale, le fluor sera introduit dans de nombreux produits : eau potable, sel, chewing-gum, et bien sûr dans le dentifrice. La France ne sera pas en reste, puisqu’elle va prescrire du fluor aux nourrissons et aux enfants sous forme de gouttes dès la naissance ou de comprimés.
Il faudra attendre 2008 en France pour que le professeur Goldberg de l’université Paris 5 et plusieurs experts de l’Agence Française de Sécurité des Produits de Santé demandent progressivement aux médecins de faire machine arrière dans leurs ordonnances.
Dès 2012, dans son article dédié aux dangers du fluor, Au Bon Sens dénonçait la surconsommation de dentifrice au fluor par les enfants dans la prévention des caries et analysait même les causes réelles des caries enfantines :
« S’il y a donc un moyen efficace de faire diminuer les caries des enfants, c’est évidemment le remplacement des sucres raffinés présents partout par du sucre complet ou d’autres sucres naturels (fruits, miels, sirops végétaux). Il faut reconnaître que le fluor a un effet “anticarie”, mais celui-ci est largement surestimé par le monde médical. »
Au Bon Sens a d’ailleurs ajouté à son catalogue de dentifrices bio sans fluor un dentifrice pour enfants, et a toujours incité à la consommation de sucre complet (non-raffiné).

Le fluor dans l’eau

Au-delà des instances médicales, les autorités sanitaires, elles aussi, semblent avoir manifesté un certain « laisser-faire ».
Il y a quelques années, Alexandra Thebault, une habitante de la région bordelaise, a tiré la sonnette d’alarme. Cette mère de famille a réalisé que pendant des années, en remplissant ses bouteilles à l’eau du robinet, sa famille avait bu cette eau non-conforme sans avoir été mise en garde et que sa fille avait développé une fluorose dentaire de stade 2. Elle a néanmoins échappé au pire : une vingtaine d’études à travers le monde indique aussi que l’eau fluorée peut entraîner des retards neurologiques chez les enfants.
« Présent à l’état naturel dans la roche des sous-sols, le fluor contamine l’eau au-delà de la limite réglementaire. »
Depuis longtemps, dans la région de la famille Thebault, le Syndicat des eaux délivre une eau non-conforme qui dépasse régulièrement le seuil de 1,5 mg/L pour les enfants. Pourtant, jusqu’en 2010, les habitants ont reçu des bilans de qualité des eaux n’indiquant aucune mise en garde.
L’agence régionale de santé n’a pas alerté les mairies et les familles concernées. Et surtout, elle n’a pas été en mesure d’imposer au Syndicat des eaux ses propres normes pour éviter le dépassement des taux de fluorure dans l’eau.
En France, selon le ministère de la Santé, de l’eau non-conforme en matière de fluor a déjà été distribuée au moins une fois dans 22 départements.



Fluor et sel de table

À défaut de s’intéresser à la complémentarité commerciale fluor-sucre raffiné mise en place par les industriels, le documentaire souligne tout de même le cas problématique du « sel de table ». Car les sources d’intoxication peuvent être multiples : dentifrice, eau minérale, eau du robinet, mais aussi sel de table (iodé et fluoré). « Et très vite, on peut déposer la dose maximale recommandée. » Les dentistes compétents, comme le professeur Anne Musset, sont donc désormais obligés de faire des bilans d’apport fluoré avec leurs patients pour examiner les eaux courantes ou minérales, les sels de table et les dentifrices qu’ils consomment.
Sur Au Bon Sens, le sel fin de Guérande est non raffiné et sans fluor. Il est également disponible en gros sel ou en fleur de sel.

Le fluor et le thé

Les aliments aussi sont concernés par la présence dangereuse du fluor.
À l’université de Derby en Angleterre, les chercheurs Paul Lynoh et Aradhana Mehra ont découvert que le thé de grande consommation (discount ou marque distributeur) contient beaucoup plus de fluor que les autres : 6 thés sur 10 dépassent le seuil de 4 mg de fluor par adulte et par jour, pallier au-delà duquel notre santé est menacée.
« Les thés noirs et purs contiennent en moyenne 2 mg de fluor par litre. Les thés bleus Oolong, qui sont aussi des mélanges purs, ont une valeur comparable. Les mélanges de thés noirs vendus par les pincipales grandes marques contiennent entre 3 et 4 mg de fluor par litre. Le thé vert a des valeurs très comparables. Mais les mélanges de thés noirs à bas prix, ceux des marques distributeurs, ont un taux de fluor très élevé, entre 5 et 8 mg/L. »
Pourquoi trouve-t-on plus de fluor dans les thés à bas prix ? La raison réside dans la manière dont le thé est récolté : pour faire du thé à bas prix, les fabricants utilisent une technique de récolte mécanisée, récoltant les feuilles du haut et les bourgeons mais aussi les feuilles les plus basses et les plus matures, qui sont les plus chargées naturellement en fluor.
« Chez les buveurs de thé anglais, mais aussi américains, plusieurs études ont révélé des cas de fluorose osseuse, une maladie où le fluor se met à prendre la place du calcium. Les os deviennent alors fragiles, se cassant sans raison. »
Au Bon Sens propose des thés et infusions BIO, où le taux de fluor est minimal.

Les perfluorocarbures (PFC)

Les PFC sont des substances chimiques truffés de fluor. Utilisés pour leurs propriétés imperméabilisantes, ils composent de nombreux produits des filières du textile. Mais ils provoquent des maladies bien plus graves que la fluorose.
« Greenpeace a lancé un cri d’alarme. Associé au carbone et manié chimiquement, le fluor s’avère extrêmement dangereux. Les scientifiques de Greenpeace sont allés dans les coins les plus reculés de la planète pour prélever des échantillons, et partout ils ont trouvé des PFC. Un composé fabriqué dans des usines disséminées dans le monde entier. Durant le processus de production, ces particules microscopiques contaminent les cours d’eau mais elles se dispersent aussi sous forme de gaz ou de particules fines. Elles voyagent avec le vent et finalement reviennent sur terre. »
En 2013, les PFC ont été identifiés comme substance dangereuse prioritaire par l’Europe. L’activiste de Greenpeace et ancien chimiste Manfred Santen explique :
« Ces composants s’accumulent. Cela veut dire qu’ils restent dans le corps. Ils vont dans nos organes (comme les reins ou le foie) et ils y restent pendant plusieurs années. »
Manfred Santen a examiné une quarantaine de produits (duvets, veste de sports…) afin d’y détecter ces composés dangereux. Résultat : seuls 4 ne contenaient pas de PFC. Même les boites de pizzas peuvent en contenir afin que la pizza se décolle plus facilement...



L’épopée Du Pont de Nemours

Pour les besoins de son documentaire, Audrey Gloagen s’est également rendue à Parkersburg, en Virginie, aux États-Unis. Cette petite ville a la particularité d’accueillir le plus grand site de production du monde de l’entreprise DuPont (de son nom complet « E.I. du Pont de Nemours & Cie »), le géant de la chimie qui, grâce aux PFC, a notamment inventé le très célèbre Téflon.
« Derrière l’argument commercial de la poêle qui n’attache pas se cache une tragédie. Pour produire le Téflon, Dupont de Nemours a utilisé pendant plus de 50 ans un composé perfluoré bien particulier, le PFOA (appelé aussi C8), émettant des fumées toxiques, contaminant les cours d’eau et l’eau potable de toute la région. »
De nombreux habitants de Parkersburg sont tombés malades. « En 2005, 70 000 personnes ont été invitées à faire des analyses. L’étude a révélé que le PFOA était présent dans leur sang et souvent à fortes doses. » À l’issue de cette étude, le professeur Savitz, épidémiologiste à l’université Brown, et ses collègues ont rendu leurs conclusions. Il existe un lien entre l’exposition au PFOA et les problèmes de santé relatifs à 6 maladies : cardiaques sous plusieurs formes, le cancer du rein, le cancer des testicules, des troubles de la thyroïde, la colite ulcéreuse (maladie des intestins) et la prééclampsie (hypertension durant la grossesse). Une action collective a été menée contre DuPont.
« DuPont connaissait les dangers des PFC, et même depuis fort longtemps. 
En 1945, les Etats-Unis viennent de larguer la première bombe atomique sur Hiroshima. Quelques années plus tôt a été lancé le Manhattan Project : un projet classé secret défense, chargé de construire des usines dans tout le pays pour produire la bombe. Des ingénieurs y ont trouvé le moyen d’enrichir l’uranium grace au fluor. Une substance extrêmement corrosive pour laquelle l’aide d’un industriel va s’avérer précieuse : DuPont et son Téflon à base de PFC. 
Christopher Bryson (journaliste) : “Le fluor était essentiel à la fabrication de la bombe atomique. D’énormes quantités de fluor ont été transportées avec l’uranium sous la forme d’un gaz appelé l’hexafluorure d’uranium. Et ce gaz était utilisé pour séparer la fraction explosive de l’uranium de sa fraction non-explosive. Ils avaient besoin de camions et de citernes qui pouvaient résister à la puissance corrosive des gaz fluorés. Ils avaient trouvé quelque chose qui soit capable de protéger les métaux de l’influence corrosive du fluor : c’était le Téflon. Donc l’expertise de DuPont en matière de fluor était en fait l’arme secrète qui a permis aux Etats-Unis de construire la bombe atomique.”
Dans son laboratoire Jackson dans le New Jersey, DuPont a en effet inventé le Téflon quelques années plus tôt. Les employés vont ensuite y travailler secrètement pour le Manhattan Project. Mais de sérieux problèmes médicaux apparaissent là où l’on manipule les composés perfluorés.

Dans un document récemment déclassifié datant de novembre 44 et envoyé au Colonel Warren, le chef du Manhattan Project, l’armée s’inquiète de voir l’affaire s’ébruiter : “Certains de ces hommes sont clairement des travailleurs indésirables sur ce projet particulier, ils font passer le mot qu’être transféré dans cette zone revient plus ou moins à un exil sur ce qu’ils appellent l’île du Diable.”
Christopher Bryson : “Les délégués syndicaux et les travailleurs eux-mêmes étaient terrifiés car y avait tant d’accidents qu’ils avaient peur de manipuler ces produits chimiques. Il y avait des morts, de terribles brûlures. Il y avait une forte exposition à ces produits. DuPont savait bien à quel point le produit chimique qu’ils utilisaient pendant la Seconde Guerre mondiale était dangereux.”
Depuis l’eau a coulé sous les ponts et le Téflon a fait le bonheur des ménagères. Et puis un jour, des études ont démontré que les poêles de cuisson dégageaient des vapeurs toxiques à hautes températures. »
En 2012, Au Bon Sens avait dénoncé le Téflon de DuPont et la multinationale avait immédiatement réagi par l’intermédiaire de ses avocats.
Pour faire la cuisine sans risquer votre santé et celle de vos proches, Au Bon Sens vous propose des poêles de cuisson sans Téflon.

Du fluor dans le sang

« Les PFC sont partout : dans nos poêles, nos couettes, nos moquettes, dans l’air, dans les cours d’eau. Selon une étude des autorités sanitaires, 98% des Américains ont des composés perfluorés dans le sang. Et nullement besoin d’avoir des usines à proximité pour être contaminé. »


Ortie plante médicinale


Ortie plante médicinale



Ortie plante médicinale

L’ortie est un tonique général : elle redonne force, courage et vitalité. Elle stimule le métabolisme. Cette petite alliée revitalise tout le corps, remonte le moral et donne de l’énergie. Elle peut être prise sur une longue période de temps et elle est un soutien fort apprécié pour les gens qui souffrent de conditions chroniques ou de dégénérescence. Dans le cas d’un épuisement chronique, d’une mononucléose ou d’une convalescence, grossesse ou allaitement, troubles métaboliques (hypoglycémie, diabète), l’individu sera épaulé par l’ortie. David Hoffmann suggère : " When in doubt, give nettle " - trad. : en cas de doute, donnez de l’ortie…


EN ALIMENTATION


  L’ortie est une plante extrêmement nutritive car elle est riche en chlorophylle et en minéraux (dont le fer), en protéines et en vitamines. Au printemps, les jeunes pousses - qui sont spécialement riches en vitamine C - peuvent être mangées comme des épinards, dans une soupe ou une lasagne. Par contre, il faut les cuire avant de les manger, car la chaleur détruira l’acide formique contenue dans les petites aiguilles.
Une étude a démontré que la silice de l’ortie est plus facilement extraite (dans l’eau) que celle de la prêle.

SYSTÈME URINAIRE


Tonique du système urinaire, elle régénère le tissu des reins (les graines d’ortie sont particulièrement efficaces pour cet effet). Elle peut faire partie d’un traitement pour :

- Calculs urinaires
- Cystite chronique

- Incontinence

- Pisse-minute
- Hématurie
- Calculs urinaires
- Mucus dans les urines
- Néphrite (graine)
- Cas de dialyse (graine)
L’ortie augmente l’excrétion d’acide urique, des ions d’hydrogène et des déchets azotés. Elle n’est pas une diurétique pure, en ce sens la diurèse augmente tant et aussi longtemps qu’il y a une surcharge de déchets acides et azotés à éliminer.L’ortie augmente l’excrétion d’acide urique, des ions d’hydrogène et des déchets azotés. Elle n’est pas une diurétique pure, en ce sens la diurèse augmente tant et aussi longtemps qu’il y a une surcharge de déchets acides et azotés à éliminer. Ceci fait en sorte que les personnes qui commencent à la prendre voit leur débit urinaire augmenter surtout dans les quelques premières semaines. Durant ce temps, l’urine est aussi foncée, parfois même jusqu’à orange. Yé, réjouissez-vous du phénomène d’élimination, votre piscine intérieure est en nettoyage… Par la suite, parce que l’ortie est tonique du rein, on remarque une normalisation de la diurèse, et même une diminution de la diurèse chez les personnes (surtout les femmes) qui étaient pisse-minutes… Ces personnes se lèveront moins souvent la nuit, voire plus du tout.
L’ortie est un diurétique sécuritaire puisque, contrairement à la racine de persil ou aux baies de genévrier, elle ne stimule pas l’utérus.
En favorisant l’excrétion d’acide urique, elle favorise la guérison des cas de goutte, d’eczéma, d’éruptions cutanées, de calculs…
L’ortie semble diminuer la quantité d’urine résiduelle.

SYSTÈME TÉGUMENTAIRE


Parce qu’elle est altérative et alcalinisante en plus de soutenir les systèmes d’élimination du corps, l’ortie est d’une grande aide dans les cas d’eczéma infantile ou nerveux. Elle revitalise aussi les tissus conjonctifs et les phanères (ongles et cheveux).

- Eczéma

- Acné

- Éruptions cutanées avec bosses, prurit, enflure

- Psoriasis
- Ulcères suintants et nauséabonds
- Dermatoses de toutes sortes


USAGES EXTERNES


- Plaies ou blessures qui saignent - utiliser en teinture ou en compresse

- Brûlures (traiter immédiatement ou appliquer sur des vieilles brûlures)

- Rince pour les cheveux (attention, ça fonçit les cheveux)


SYSTÈME DIGESTIF


L’ortie n’est pas une plante amère, cholagogue, hépatique, carminative ou émolliente. Malgré tout, on remarque qu’elle a un effet marqué sur le système digestif, peut-être parce qu’elle aide à l’absorption des nutriments et qu’elle possède des propriétés légèrement astringentes ? Encore là, si on ne peut expliquer le pourquoi et le comment, l’ortie fait son travail quand même ! Peter Holmes dit que l’ortie nourrit le Yin du foie. C’est pourquoi elle aide dans les cas d’hypoglycémie, de fatigue en soirée et une perte d’endurance, perte de poids.
Pour les grosses pathos du système digestif, l’ortie sera surtout soutenante. On l’utilisera donc en combinaison avec des plantes plus ciblées.
Plusieurs personnes digèrent mal l’ortie (ces personnes ballonnent). Il faudra l’accompagner d’une plante carminative réchauffante. Des fois, tristement, il faudra laisser tomber…

- Ulcères gastriques et intestinaux

- Maladies chroniques du côlon

- Diarrhée et dysenterie chroniques

- Sang ou mucus dans les selles
- Hémorroïdes sanguinolentes
En Russie, on utilise la feuille pour traiter les hépatites et l’inflammation de la vésicule biliaire.


SYSTÈME RESPIRATOIRE



Traditionnellement, l’ortie est utilisée comme protecteur pulmonaire. Traditionnellement, l’ortie est utilisée comme protecteur pulmonaire. Les graines et les feuilles sont utilisées pour prévenir la tuberculose et pour les individus qui sont sujets à avoir des troubles pulmonaires, comme les personnes atteintes du VIH. Peter Holmes considère que l’ortie est d’une grande aide en cas de déficience du Yin du poumon, lorsque l’on rencontre un essoufflement avec beaucoup d’humidité/mucus dans les voies respiratoires. De plus, il est dit que la graine tonifie les capillaires de la muqueuse respiratoire après une bronchite. Elle était traditionnellement utilisée en cas de pleurésie et de pneumonie (était-ce la graine qui était utilisée pour ça ???).

- Tuberculose (protection)

- Asthme bronchique et asthme allergique

- Bronchite

RHUME DES FOINS



L’ortie doit être prise en tisane sur une longue période (min. 3 mois) précédant la saison d’allergies et cela peut être suffisant pour transformer le terrain allergique une fois pour toutes (c’est fini - gone - bye bye). On peut aussi utiliser l’ortie dans une approche symptomatique : il faut alors prendre de l’ortie fraîche, donc une teinture de plante fraîche. Ou encore, certaines compagnies vendent de l’ortie séchée à froid qui est, elle aussi, efficace dans cette approche.

SYSTÈME ENDOCRINIEN


En fait, l’ortie est utilisée pour tout dérèglement endocrinien. Étant adaptogène et tonique des surrénales, elle aide à régulariser le métabolisme et à diminuer les effets néfastes du stress.

- Stress : l’ortie inhiberait les effets de l’adrénaline

- Épuisement, surmenage

- Déficience au niveau du cortex surrénalien

- Hypoparathyroïdie : malabsorption des nutriments causée par une déficience mineure des parathyroïdes
- Hypothyroïdie : les graines stimulent les fonctions thyroïdiennes

SYSTÈME LOCOMOTEURRHUMATISME, ARTHRITE ET GOUTTE


L’ortie augmente l’excrétion d’acide urique et aide à régénérer les tissus du corps. Pour les plus braves, frotter de l’ortie fraîche en externe sur la région inflammée amènera une augmentation de l’afflux de sang dans cette région, ce qui aidera à la réparation des tissus tout en diminuant la douleur.
On peut aussi appliquer le jus de la plante fraîche ou une compresse de vinaigre d’ortie sur les jointures endolories. De plus, la scopolétine des fleurs et de racines de l’ortie lui confère une action anti-inflammatoire.

SYSTÈME REPRODUCTEUR FÉMININSYNDROME PRÉMENSTRUEL, MENSTRUATIONS


L’ortie diminue la rétention d’eau et soulage les seins endoloris. De plus, son apport en magnésium apaisera les rages de sucre (lire " chocolat "), l’hypoglycémie et l’irritabilité associés au SPM.L’ortie diminue la rétention d’eau et soulage les seins endoloris. De plus, son apport en magnésium apaisera les rages de sucre (lire " chocolat "), l’hypoglycémie et l’irritabilité associés au SPM.
Elle prévient l’anémie qui peut aggraver l’hémorragie utérine et son action astringente aide à diminuer le flux. Lorsque l’ortie est prise sur une plus longue période de temps, genre quelques semaines, l’ortie peut faire en sorte qu’il n’y aura plus de crampes menstruelles.

GROSSESSE ET ALLAITEMENT


Tonique énergétique, elle prévient l’anémie. Prise tout au long du dernier trimestre, l’ortie donne une bonne réserve de vitamine K. Pendant l’accouchement, elle peut être prise avec de la bourse à pasteur pour arrêter les hémorragies. De plus, après l’accouchement, l’ortie aide à redonner de l’énergie à la nouvelle maman.
L’ortie stimule la production de lait et l’enrichit - ceci bénéficie l’enfant.


SYSTÈME REPRODUCTEUR MASCULIN : HYPERTROPHIE DE LA PROSTATE


Des études récentes ont confirmé que les stéroïdes de la racine d’ortie inhibent des enzymes membranaires de la prostate, alors que ses lignanes inhibent la SHBG (sex hormone binding globuline) - deux phénomènes impliqués dans l’hyperplasie de la prostate. Dans ce cas, la racine d’ortie semble plus efficace que la feuille. Elle baisse la fréquence de la nycturie. Pour les hommes qui ont une hypertrophie de la prostate, des études ont montré que la racine d’ortie pouvait réduire de 70% le volume initial de la prostate. L’ortie diminue aussi les quantités d’urine résiduelle.

SANG

ANÉMIE

L’ortie est non seulement une excellente source de fer, mais elle aide également à l’absorption de ce minéral. De plus, l’ortie favorise la formation de l’hémoglobine dans les globules rouges. L’ortie est non seulement une excellente source de fer, mais elle aide également à l’absorption de ce minéral. De plus, l’ortie favorise la formation de l’hémoglobine dans les globules rouges.

ACIDIFICATION

Grâce à son riche contenu en minéraux, l’ortie donne un petit coup de pouce au système tampon acido-basique. Aussi, en augmentant l’acidité de l’urine, elle stimule l’excrétion des déchets azotés.

HÉMORRAGIES

Comme plante astringente contenant des acides galliques, l’ortie peut arrêter les petites hémorragies qui peuvent survenir dans le corps. Le jus frais de l’ortie est particulièrement efficace pour arrêter les saignements de nez.

TOXÉMIE

L’ortie est à considérer en début de pré éclampsie (toxémie de grossesse) et même en prévention de celle-ci.

SYSTÈME IMMUNITAIRE

Comme adaptogène, l’ortie aidera le système immunitaire, entre autres en modulant la réponse hormonale. Des études ont démontré que l’ortie stimule les fonctions immunitaires. Elle axe essentiellement ses effets sur les globules blancs. D’autres études ont démontré des effets antibactériens sur le Staphylococcus aureus et S. albus.

ALLERGIES

L’ortie fraîche est anti-histaminique. De plus, l’usage à moyen/long terme traite les allergies (toutes !!!) de façon générale et définitive.

CANCER

Un peu comme le trèfle rouge, l’ortie est un remède traditionnel contre les cancers. En Allemagne, on a récemment utilisé ses racines pour traiter le cancer de la prostate.

SYSTÈME CARDIO-VASCULAIRE


- Léger œdème cardiaque

- Hypertension

- Insuffisance veineuse



Extrait du Materia Medica de FloraMedicina