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Fluor : un scandale sanitaire enfin médiatisé

Fluor : un scandale sanitaire enfin médiatisé


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Depuis 2012, Au Bon Sens et E&R ont pris soin de régulièrement vous informer sur les dangers du fluor (présent entre autres dans le dentifrice et le sel raffiné) et de ses dérivés perfluorés, notamment le Téflon.
En avril 2016, France 5 a décidé de « déclassifier » médiatiquement le dossier Fluor dans un documentaire d’Audrey Gloagen intitulé « Fluor, un ami qui vous veut du mal ». Jusqu’alors, les médias « mainstream » semblaient mal à l’aise vis-à-vis de ce sujet de santé publique, qu’ils avaient négligé pendant si longtemps, allant jusqu’à promouvoir la consommation du fluor dans de nombreuses publicités.
L’enquête d’Audrey Gloagen commence évidemment comme un polar, les journalistes aimant se mettre en scène en se donnant le beau rôle. Après un échange de SMS avec son « rédac » qui l’informe du danger du fluor, la journaliste décide d’aller exhumer les archives des aciéries Schneider du Creusot en Bourgogne et découvre un rapport « Pollution » de 1970 précisant que le fluor était utilisé pour faire fondre l’acier dans les hauts fourneaux et dégageait des fumées toxiques. Les fluoroses dentaires s’étaient développées dans la population environnante et les élevages de Charolais voisins.

Caries et fluoroses dentaires (sucre raffiné et dentifrice au fluor)

Parmi les dangers du fluor, la fluorose dentaire est l’une des pathologies les « moins graves » mais de plus en plus fréquente chez les enfants : des tâches inesthétiques sur les dents avec destruction de l’émail (qui rend le patient très sujet aux caries). Car la consommation du fluor s’avère toxique dès 1 mg par jour pour les enfants et 4 mg pour les adultes.
On le retrouve dans notre eau, nos dentifrices, nos poêles, nos sels, nos vêtements et sa toxicité inquiète désormais les scientifiques du monde entier.
« Un professeur connaît le fluor plus que quiconque pour en avoir fait l’objet de sa thèse. Anne-Marie Musset dirige l’un des plus grands pôles de chirurgie dentaire de France. À la faculté de Strasbourg, il lui arrive de voir régulièrement des problèmes d’intoxication au fluor. »

Elle conseille aux parents de réduire au maximum la quantité de dentifrice au fluor sur la brosse à dents de leurs enfants. En mars 2009, l’impression sur les boites de dentifrice au fluor de la dose « taille d’un petit pois » pour les enfants a été imposé par une loi. Le Pr Musset explique :
« Les fluoroses qu’on voit en France, dans 80% des cas, ce sont des enfants qui ont avalé du dentifrice à trop forte dose. »
Il s’agit de la fluorose humaine. Le fluor, ingéré à forte dose, entraîne de graves problèmes osseux et, à une dose moindre, provoque une fluorose dentaire : des traces horizontales et des taches brunes apparaissent sur les dents et l’émail est progressivement détruit.



Un poison embarrassant pour les multinationales

La société américaine Alcoa a connu dans les années 1930 un problème majeur avec le fluor. Tout comme Schneider en France, Alcoa génère des fumées toxiques en extrayant l’aluminium grace au fluor. Inquiète des risques de procès, Alcoa enquête à partir de 1931 sur des cas de fluorose dentaire autour de son usine de Massena dans l’État de New York. Dans un courrier interne, la société mentionne que de nombreux dentistes ont observé des cas d’émail tacheté sur les dents de leurs patients. La contamination des eaux inquiète notamment la société qui pourrait à terme voir des malades se retourner contre elle pour des problèmes de fluorose dentaire, de thyroïdite et d’arthrite. Selon deux spécialistes américains interrogés lors du reportage, dans et autour des usines, les cas d’empoisonnements se multipliaient et Alcoa avait besoin d’arguments pour se défendre face aux tribunaux et de faire ressortir les aspects positifs du fluor.
« La réponse à son problème, Alcoa va la trouver à l’Institut Mellon, un laboratoire de sciences appliquées de Pittsburgh que le géant de l’aluminium a lui-même créé pour servir les intérêts des industriels. L’institut a déjà été utile pour légitimer l’amiante, par exemple. 
En 1935, un scientifique, Gerald Cox, y travaille. Il réalise une étude sur les dents en utilisant des rats de laboratoire. Un homme va sortir de l’ombre et venir à sa rencontre : il s’appelle Francis Frary, il est le directeur de recherche d’Alcoa et va fortement suggérer à Cox d’introduire la fluor dans son étude. »
Il s’agit d’identifier le rôle bénéfique du fluor sur les caries afin de compenser tous les autres aspects négatifs du produit. Gérald Cox reconnaîtra cette collusion lors d’une correspondance avec un historien en 1956.
« Le poison vient de devenir un remède. L’institut Mellon annonce quatre ans plus tard dans une revue scientifique que le fluor est probablement l’élément permettant aux dents d’être plus résistantes à la carie. (…) C’est ainsi qu’une petite manœuvre a fabriqué la grande histoire du fluor. Plus personne ne songera à la remettre en cause pendant des décénies. »
Après la Seconde Guerre mondiale, le fluor sera introduit dans de nombreux produits : eau potable, sel, chewing-gum, et bien sûr dans le dentifrice. La France ne sera pas en reste, puisqu’elle va prescrire du fluor aux nourrissons et aux enfants sous forme de gouttes dès la naissance ou de comprimés.
Il faudra attendre 2008 en France pour que le professeur Goldberg de l’université Paris 5 et plusieurs experts de l’Agence Française de Sécurité des Produits de Santé demandent progressivement aux médecins de faire machine arrière dans leurs ordonnances.
Dès 2012, dans son article dédié aux dangers du fluor, Au Bon Sens dénonçait la surconsommation de dentifrice au fluor par les enfants dans la prévention des caries et analysait même les causes réelles des caries enfantines :
« S’il y a donc un moyen efficace de faire diminuer les caries des enfants, c’est évidemment le remplacement des sucres raffinés présents partout par du sucre complet ou d’autres sucres naturels (fruits, miels, sirops végétaux). Il faut reconnaître que le fluor a un effet “anticarie”, mais celui-ci est largement surestimé par le monde médical. »
Au Bon Sens a d’ailleurs ajouté à son catalogue de dentifrices bio sans fluor un dentifrice pour enfants, et a toujours incité à la consommation de sucre complet (non-raffiné).

Le fluor dans l’eau

Au-delà des instances médicales, les autorités sanitaires, elles aussi, semblent avoir manifesté un certain « laisser-faire ».
Il y a quelques années, Alexandra Thebault, une habitante de la région bordelaise, a tiré la sonnette d’alarme. Cette mère de famille a réalisé que pendant des années, en remplissant ses bouteilles à l’eau du robinet, sa famille avait bu cette eau non-conforme sans avoir été mise en garde et que sa fille avait développé une fluorose dentaire de stade 2. Elle a néanmoins échappé au pire : une vingtaine d’études à travers le monde indique aussi que l’eau fluorée peut entraîner des retards neurologiques chez les enfants.
« Présent à l’état naturel dans la roche des sous-sols, le fluor contamine l’eau au-delà de la limite réglementaire. »
Depuis longtemps, dans la région de la famille Thebault, le Syndicat des eaux délivre une eau non-conforme qui dépasse régulièrement le seuil de 1,5 mg/L pour les enfants. Pourtant, jusqu’en 2010, les habitants ont reçu des bilans de qualité des eaux n’indiquant aucune mise en garde.
L’agence régionale de santé n’a pas alerté les mairies et les familles concernées. Et surtout, elle n’a pas été en mesure d’imposer au Syndicat des eaux ses propres normes pour éviter le dépassement des taux de fluorure dans l’eau.
En France, selon le ministère de la Santé, de l’eau non-conforme en matière de fluor a déjà été distribuée au moins une fois dans 22 départements.



Fluor et sel de table

À défaut de s’intéresser à la complémentarité commerciale fluor-sucre raffiné mise en place par les industriels, le documentaire souligne tout de même le cas problématique du « sel de table ». Car les sources d’intoxication peuvent être multiples : dentifrice, eau minérale, eau du robinet, mais aussi sel de table (iodé et fluoré). « Et très vite, on peut déposer la dose maximale recommandée. » Les dentistes compétents, comme le professeur Anne Musset, sont donc désormais obligés de faire des bilans d’apport fluoré avec leurs patients pour examiner les eaux courantes ou minérales, les sels de table et les dentifrices qu’ils consomment.
Sur Au Bon Sens, le sel fin de Guérande est non raffiné et sans fluor. Il est également disponible en gros sel ou en fleur de sel.

Le fluor et le thé

Les aliments aussi sont concernés par la présence dangereuse du fluor.
À l’université de Derby en Angleterre, les chercheurs Paul Lynoh et Aradhana Mehra ont découvert que le thé de grande consommation (discount ou marque distributeur) contient beaucoup plus de fluor que les autres : 6 thés sur 10 dépassent le seuil de 4 mg de fluor par adulte et par jour, pallier au-delà duquel notre santé est menacée.
« Les thés noirs et purs contiennent en moyenne 2 mg de fluor par litre. Les thés bleus Oolong, qui sont aussi des mélanges purs, ont une valeur comparable. Les mélanges de thés noirs vendus par les pincipales grandes marques contiennent entre 3 et 4 mg de fluor par litre. Le thé vert a des valeurs très comparables. Mais les mélanges de thés noirs à bas prix, ceux des marques distributeurs, ont un taux de fluor très élevé, entre 5 et 8 mg/L. »
Pourquoi trouve-t-on plus de fluor dans les thés à bas prix ? La raison réside dans la manière dont le thé est récolté : pour faire du thé à bas prix, les fabricants utilisent une technique de récolte mécanisée, récoltant les feuilles du haut et les bourgeons mais aussi les feuilles les plus basses et les plus matures, qui sont les plus chargées naturellement en fluor.
« Chez les buveurs de thé anglais, mais aussi américains, plusieurs études ont révélé des cas de fluorose osseuse, une maladie où le fluor se met à prendre la place du calcium. Les os deviennent alors fragiles, se cassant sans raison. »
Au Bon Sens propose des thés et infusions BIO, où le taux de fluor est minimal.

Les perfluorocarbures (PFC)

Les PFC sont des substances chimiques truffés de fluor. Utilisés pour leurs propriétés imperméabilisantes, ils composent de nombreux produits des filières du textile. Mais ils provoquent des maladies bien plus graves que la fluorose.
« Greenpeace a lancé un cri d’alarme. Associé au carbone et manié chimiquement, le fluor s’avère extrêmement dangereux. Les scientifiques de Greenpeace sont allés dans les coins les plus reculés de la planète pour prélever des échantillons, et partout ils ont trouvé des PFC. Un composé fabriqué dans des usines disséminées dans le monde entier. Durant le processus de production, ces particules microscopiques contaminent les cours d’eau mais elles se dispersent aussi sous forme de gaz ou de particules fines. Elles voyagent avec le vent et finalement reviennent sur terre. »
En 2013, les PFC ont été identifiés comme substance dangereuse prioritaire par l’Europe. L’activiste de Greenpeace et ancien chimiste Manfred Santen explique :
« Ces composants s’accumulent. Cela veut dire qu’ils restent dans le corps. Ils vont dans nos organes (comme les reins ou le foie) et ils y restent pendant plusieurs années. »
Manfred Santen a examiné une quarantaine de produits (duvets, veste de sports…) afin d’y détecter ces composés dangereux. Résultat : seuls 4 ne contenaient pas de PFC. Même les boites de pizzas peuvent en contenir afin que la pizza se décolle plus facilement...



L’épopée Du Pont de Nemours

Pour les besoins de son documentaire, Audrey Gloagen s’est également rendue à Parkersburg, en Virginie, aux États-Unis. Cette petite ville a la particularité d’accueillir le plus grand site de production du monde de l’entreprise DuPont (de son nom complet « E.I. du Pont de Nemours & Cie »), le géant de la chimie qui, grâce aux PFC, a notamment inventé le très célèbre Téflon.
« Derrière l’argument commercial de la poêle qui n’attache pas se cache une tragédie. Pour produire le Téflon, Dupont de Nemours a utilisé pendant plus de 50 ans un composé perfluoré bien particulier, le PFOA (appelé aussi C8), émettant des fumées toxiques, contaminant les cours d’eau et l’eau potable de toute la région. »
De nombreux habitants de Parkersburg sont tombés malades. « En 2005, 70 000 personnes ont été invitées à faire des analyses. L’étude a révélé que le PFOA était présent dans leur sang et souvent à fortes doses. » À l’issue de cette étude, le professeur Savitz, épidémiologiste à l’université Brown, et ses collègues ont rendu leurs conclusions. Il existe un lien entre l’exposition au PFOA et les problèmes de santé relatifs à 6 maladies : cardiaques sous plusieurs formes, le cancer du rein, le cancer des testicules, des troubles de la thyroïde, la colite ulcéreuse (maladie des intestins) et la prééclampsie (hypertension durant la grossesse). Une action collective a été menée contre DuPont.
« DuPont connaissait les dangers des PFC, et même depuis fort longtemps. 
En 1945, les Etats-Unis viennent de larguer la première bombe atomique sur Hiroshima. Quelques années plus tôt a été lancé le Manhattan Project : un projet classé secret défense, chargé de construire des usines dans tout le pays pour produire la bombe. Des ingénieurs y ont trouvé le moyen d’enrichir l’uranium grace au fluor. Une substance extrêmement corrosive pour laquelle l’aide d’un industriel va s’avérer précieuse : DuPont et son Téflon à base de PFC. 
Christopher Bryson (journaliste) : “Le fluor était essentiel à la fabrication de la bombe atomique. D’énormes quantités de fluor ont été transportées avec l’uranium sous la forme d’un gaz appelé l’hexafluorure d’uranium. Et ce gaz était utilisé pour séparer la fraction explosive de l’uranium de sa fraction non-explosive. Ils avaient besoin de camions et de citernes qui pouvaient résister à la puissance corrosive des gaz fluorés. Ils avaient trouvé quelque chose qui soit capable de protéger les métaux de l’influence corrosive du fluor : c’était le Téflon. Donc l’expertise de DuPont en matière de fluor était en fait l’arme secrète qui a permis aux Etats-Unis de construire la bombe atomique.”
Dans son laboratoire Jackson dans le New Jersey, DuPont a en effet inventé le Téflon quelques années plus tôt. Les employés vont ensuite y travailler secrètement pour le Manhattan Project. Mais de sérieux problèmes médicaux apparaissent là où l’on manipule les composés perfluorés.

Dans un document récemment déclassifié datant de novembre 44 et envoyé au Colonel Warren, le chef du Manhattan Project, l’armée s’inquiète de voir l’affaire s’ébruiter : “Certains de ces hommes sont clairement des travailleurs indésirables sur ce projet particulier, ils font passer le mot qu’être transféré dans cette zone revient plus ou moins à un exil sur ce qu’ils appellent l’île du Diable.”
Christopher Bryson : “Les délégués syndicaux et les travailleurs eux-mêmes étaient terrifiés car y avait tant d’accidents qu’ils avaient peur de manipuler ces produits chimiques. Il y avait des morts, de terribles brûlures. Il y avait une forte exposition à ces produits. DuPont savait bien à quel point le produit chimique qu’ils utilisaient pendant la Seconde Guerre mondiale était dangereux.”
Depuis l’eau a coulé sous les ponts et le Téflon a fait le bonheur des ménagères. Et puis un jour, des études ont démontré que les poêles de cuisson dégageaient des vapeurs toxiques à hautes températures. »
En 2012, Au Bon Sens avait dénoncé le Téflon de DuPont et la multinationale avait immédiatement réagi par l’intermédiaire de ses avocats.
Pour faire la cuisine sans risquer votre santé et celle de vos proches, Au Bon Sens vous propose des poêles de cuisson sans Téflon.

Du fluor dans le sang

« Les PFC sont partout : dans nos poêles, nos couettes, nos moquettes, dans l’air, dans les cours d’eau. Selon une étude des autorités sanitaires, 98% des Américains ont des composés perfluorés dans le sang. Et nullement besoin d’avoir des usines à proximité pour être contaminé. »


Attention: dans le lait un poison

Attention: dans le lait un poison 


Recherche scientifique : le lait est nocif pour la santé et peut causer la mort

Dès le plus jeune âge, l'homme apprend les avantages de boire du lait, mais il est maintenant prouvé que le lait de vache est un aliment parfait, mais uniquement pour les veaux: tout ce que nous savons sur le lait et ses avantages est devenu une légende que les commerçants ont vendue et promue au fil des ans. Des années choquantes et surprenantes de journaux suédois et de médias internationaux ont eu lieu ces derniers jours après avoir montré que manger trois tasses de lait par jour, soit environ 700 millilitres, pouvait augmenter le taux de mortalité prématurée, contrairement à ce que nous pensionsCette étude a été précédée de nombreuses recherches scientifiques remarquables qui ont confirmé qu'il existe un risque réel de consommation de laitDes expériences et des recherches récentes ont impliqué plus de 106 000 personnes, dont 20 ans de femmes et 11 hommes, dans le département de sciences chirurgicales de l'Université d'Uppsala en Suède, fondée en 1477, et huit d'entre elles ont reçu un prix Nobel dans tous les domaines scientifiques

Comme l'a montré une étude scientifique intégrée menée aux États-Unis que tous les types de lait qui sont négociés sur les marchés il y a, qui sont soumis à un contrôle strict, où il y a environ 59 espèces d'hormones actives, un grand nombre d'allergènes, ainsi que la graisse et de cholestérolA également confirmé que l'analyse le lait contient des quantités nocives d'herbicides, des pesticides et des substances toxiques (2.200 fois plus élevé que le niveau de sécurité), et environ 52 puissant anti vital, le sang et le pus et les matières fécales et les bactéries et les virusCertaines études ont également suggéré qu'une consommation excessive de lait peut présenter des risques pour de nombreuses personnes et contribuer à de nombreuses maladies.

Ostéoporose


Les médecins recommandent de manger du lait comme source de calcium pendant de nombreuses années, mais des études ont montré des résultats contradictoires quant à savoir si le lait renforce les os et réduit le risque de fracturesIl a confirmé une autre étude de 78 mille patients de plus de 12 ans que les principaux pays consommateurs pour les produits laitiers ont des taux plus élevés aussi des patients avec lostéoporose. Parce qu'il est généralement utilisé pour 10 grammes de lait pour fabriquer un gramme de fromage, et que le risque de croûte de glace dépasse le risque de lait environ 12 fois, et de beurre Il peut être 21 fois plus élevé que le lait.

Une étude récente a conclu que la consommation de grandes quantités de lait peut ne pas réduire le risque de fracture osseuse L’étude, menée en Suède et publiée dans le British Medical Journal, a montré que les femmes qui mangeaient plus de trois tasses de lait par jour risquaient en fait davantage de souffrir de fractures aux os que celles qui mangeaient moins Cependant, les chercheurs ont déclaré que cela ne devait pas être interprété comme une preuve que de grandes quantités de lait provoquaient des fractures des os et que d'autres facteurs tels que la consommation d'alcool et le poids pourraient jouer un rôle .

L'étude, publiée dans le British Medical Journal, ou BMJ , a été menée sur un échantillon de 61433 femmes âgées de 39 à 74 ans entre 1987 et 1990 et 45 339 hommes âgés de 45 à 79 ans en 1997, Les deux groupes ont été invités à enregistrer la quantité de lait qu'ils ont consommée quotidiennement pendant 20 ans pour les femmes et 11 pour les hommesL’étude a révélé que 15 541 femmes étaient décédées au cours de l’essai, 17 252 avaient été exposées à des fractures des os et 4 459 à des fractures de la hanche.

L'étude a également révélé que les femmes qui buvaient plus de trois tasses de lait par jour avaient un risque de cancer du sein supérieur de 1,93% à celles des femmes qui buvaient de Cuba ou moins de lait par jour, ce qui augmentait de 15% le risque de décès prématuré avec un verre de lait quotidien pendant 20 ansLes hommes, cependant, avaient l'apparence "d'interleukine" en raison de leur consommation de liquide blanc, alors qu'ils n'apparaissaient pas chez les femmes L'interlokine est une protéine qui sépare les protéines dans les globules blancs et stimule le système immunitaire du corps pour lutter contre les maladies et la congestion, tandis qu'Interlokin 6 est plus résistante à l'inflammation, ce qui signifie que son apparence chez l'homme confirme l'inflammation causée par l'ingestion de laitLe risque de décès a également augmenté chez les hommes qui consommaient plus de lait, mais moins que chez les femmesLes hommes ont été suivis pendant onze ans après l’enquête initiale et les résultats ont montré une tendance similaire mais moins évidente .

"Le lait et ses produits au Royaume-Uni représentent entre 50 et 60% du calcium dans notre alimentation, et nous savons que le manque de calcium (moins de 400 milligrammes par jour) est un facteur de risque pour l'ostéoporose ", a déclaré Su Anhnam Niu, de la Sri British University "Tout le monde devrait néanmoins être encouragé à avoir une alimentation équilibrée des cinq principaux groupes d'aliments, principalement du lait et des produits laitiers", a-t-il déclaré.

L'étude montre qu'une carence en lactose et en galactose augmente le taux de stress oxydatif et d'inflammation chronique dans l'organisme, entraînant un risque accru de décès ou de maladie chronique. "Nos résultats pourraient poser des questions sur la validité des recommandations pour la consommation d'une grande quantité de lait afin de prévenir l'ostéoporose", a déclaré le professeur suédois Carl MichaelsonLes résultats ont confirmé que le "galactose" est le "tueur" du fluide blanc, un type de sucre connu pour provoquer le stress oxydatif, qui provoque l'inflammation du système de déséquilibre avec la capacité d'éliminer les toxines, et lors de l'étude sur les produits laitiers fermentés tels que le yaourt, Modèle opposé - Les personnes qui consomment de grandes quantités risquent moins de subir des fractures .L'étude a également souligné que boire du lait ou manger du fromage ou du lait n'était pas nocif en tant que laitMichaelson a déclaré que les résultats pourraient être dus au sucre dans le lait, qui a été montré pour accélérer le vieillissement, selon certaines études chez l'animal "Nos résultats peuvent remettre en cause les recommandations en prenant de plus grandes quantités de lait pour prévenir les fractures, mais les résultats doivent être interprétés avec prudence", a-t-il déclaré, ajoutant que ces recommandations ne devraient pas être modifiées avant la poursuite des études .

"Alors que la consommation mondiale de lait augmente en raison du développement économique et de la consommation accrue d'aliments pour animaux, nous devons déterminer le rôle du lait dans la mort", a déclaré Mary Skulling de l'Université de New YorkLes chercheurs qui ont mené cette étude ont déclaré avoir besoin de plus de recherche avant de recommander un changement de régime, soulignant que les taux élevés de lactose et de galactose présents dans le lait pourraient être la cause principale des résultats choquants de l'étude.

Traits importants du lait :

·         Le lait (8 oz) contient 291,336 mg de calcium, 32,794 mg de magnésium, 3,25% de graisse et 87% d'eau.

·         Le lait de vache contient plus de trois fois la quantité de calcium contenue dans le lait maternel, mais le calcium contenu dans le lait peut être inutile, car la quantité de magnésium présente dans le lait ne suffit pour absorber qu'environ 11% du calciumIl est scientifiquement reconnu que la présence de magnésium est nécessaire à l'absorption et à l'utilisation du calcium par l'organisme, à condition que leur quantité soit égale.

·         La consommation de lait et de produits laitiers contribue à augmenter le poids et l'obésité. Des études ont montré que 49% des calories dans le lait entier, 74% dans le fromage et 100% dans le beurre sont dues à la graisse.

·         Le lait peut être considéré comme une "viande liquide" car il contient une grande quantité de protéines et lacaséine, une protéine du laitreprésente 80% de la quantité totale de protéines dans le laitCette protéine est utilisée dans l'industrie comme colle puissante pour les feuilles et dans l'industrie du plastique. Cette protéine peut donc provoquer de graves réactions allergiques.

·         Le lait contient un pourcentage de matières fécales, qui est une source majeure de bactéries. Chaque centimètre cube de lait dont la circulation est autorisée en Amérique contient 750 000 cellules physiques (pus), chaque litre contient 20 millions de cellules bactériennes avant leur mise en circulation. Ce montant (400 millions de cellules physiques) est deux fois plus élevé sur le marché des produits laitiersBien que le lait soit stérilisé plus d'une fois avant d'arriver sur votre table, le nombre de bactéries double dans le lait toutes les 20 minutes s'il est laissé à la température ambiante.

·         Soixante pour cent des vaches laitières en Amérique sont atteintes de leucémie.

·         La protéine est lactalbumine contenu dans le lait , un facteur clé pour causer le diabète et est une cause majeure de ne pas donner la vache de lait aux enfants.

·         Une grande partie de la population mondiale ne peut tolérer le lactose dans le lait de vache: s’ils mangent du lait, du fromage ou tout autre produit laitier, ils développent des nausées, des crampes d’estomac et des ballonnementsEntre 30 et 50 millions d'Américains, 95% des Afro-Américains, 90% des Asiatiques et 53% des Latino-Américains sont incapables de digérer le laitLes chercheurs ont déclaré qu'environ 5% de la population du nord de l'Europe souffrait du problème de presque tous les résidents de l'Asie du Sud-EstOn sait que l'incapacité à digérer le lait est un symptôme génétique provoqué par un gène donné, ce qui signifie que la personne doit hériter d'une version "défectueuse" des deux parents pour pouvoir souffrir du problème.

Lait et cancer du sein chez les femmes


Un scientifique français et un expert en alimentation, a récemment rapporté que 70% de la population mondiale "ne peut pas digérer et dissoudre le diabète galactose , ce qui peut constituer un avertissement naturel selon lequel le lait n'est plus propre à la consommation, en particulier depuis ce que nous mangeons depuis 1960 Comme auparavant, "les éleveurs de bétail ont depuis longtemps cessé de les nourrir avec des herbes", selon Sonnti-Nutrision, qui a demandé à ceux qui veulent vérifier ce qu'il avait dit d'arrêter de boire du lait pendant quelques semaines. Ils remarqueront les effets positifs sur la santé .Le site de santé et de nutrition a également averti que la consommation de lait "contribue au cancer du sein car ses produits, qui ne sont pas consommés par l'homme, contiennent des composants cancéreux", selon une étude épidémiologique. Une question importante a été posée: 10 femmes atteintes d'un cancer du sein en Occident, contre une sur 100 000 en Chine Le site indique que les Chinois ne consomment pas de lait et de produits laitiers, ce qui rend le cancer du sein spécial pour les femmes chinoises riches consommant de la crème glacée, en particulier lors de leurs voyages à l'étranger. Il a également noté que des études épidémiologiques avaient montré un lien entre la consommation de lait et le cancer du sein. Il y a deux décennies, les chercheurs ont commencé à découvrir que le risque de développer ce cancer augmentait chez les femmes à mesure que leur consommation de liquide blanc augmentait .Dans le même temps, le lait maternel est l'aliment idéal pour le bébé, a-t-il déclaré, car il ne peut pas manger d'aliments pour adultesÀ son avis, toutefois, le risque est lié au lait consommé par les adultes, qui dans certains pays atteint 40% du régime alimentaire .

Autres maladies causées par la consommation de lait


1.      Maladie « Jones » ou « Krones » Crohn : La cause se sont des bactéries infectées connues sous le nom Mycobacteriumparatuberculosis , et ces bactéries sont affectées par les opérations de pasteurisation, et peut conduire à la transmission de la maladie à lhomme.

2.      ESB: les vaches bovines peuvent contenir des prions qui causent les prions de 5 à 30 ans.Ces bronzes sont une substance cristalline qui se comporte comme un virus. Bien entendu, ces prions sont produits dans le lait et aboutissent à la maladie de la vache folle.

3.      Effets cumulatifs: des études ont montré qu'il y avait des effets cumulatifs de la consommation de lait de vaches et de produits laitiers sur une base régulière, tels que l'obésité (plus de 50% des Américains), le cancer, les maladies cardiaques et les allergies, problèmes digestifs, diabète, asthme, réduisant la sensibilité du corps aux antibiotiques. Et transporter les substances toxiques telles que les herbicides et les pesticides dans le corps humain.

4.      Cellule cancéreuse: les chercheurs ont découvert que les 59 hormones les plus actives dans le lait sont une hormone de croissance forte appelée facteur de croissance analogue à l'insuline ONE ( IGF-1 ) ouIGF-1 .. . On sait que cette hormone se trouve naturellement dans le lait et que sa composition est identique chez la vache et chez l'hommeLa raison de la présence de cette hormone est qu’elle est un élément essentiel de la croissance rapide et aide le nouveau-né à se développer très rapidementD'un autre côté, les scientifiques considèrent l'hormone comme une "pile à combustible" pour tout type de cancer et comme cause majeure de la propagation des cancers du thorax, du côlon, de la prostate et de plusieurs autres cancers.

Recherche de génie génétique


Une question pressante se pose: pourquoi le lait passe-t-il d'un baume à un poison toxiqueLa réponse, en résumé, est la cupidité des commerçants, la pollution et l’ignorance, par exemple Monsanto Chemical Co , anciennement connue pour ses toxines hautement toxiques comme le DDT, et le pesticide à la dioxine, qui ont financé plus de 500 000 dollars pour la recherche en génie génétique. seringue pour forcer les vaches à produire plus de lait, etmalheureusement , les scientifiques ont réussi à produire une injection hormonale appelée rbGH ou * Boselak ** Posilac* , cette injection conduit à augmenter la production de lait chez les bovins tout au long de lannée, il a produit jusqu'à une vache à 27 kg de lait Chaque jour, cela conduit à une augmentation de l'hormone "IGF-1" dans le lait sous la forme T plus de 80% de la vitesse normale.

La mafia laitière des États-Unis a pu dissimuler un important rapport confirmant le danger de cette injection et ses effets néfastes sur tous les animaux d'essai (Richard, Odaglia et DeLix, 1989). Ce rapport n'a pas été présenté à l'administration Clinton ni à la Food and Drug Administration américaine.  Cette affirmation s’est révélée fausse, car il est scientifiquement reconnu que le taux de croissance du nourrisson est élevé en raison de la présence de cette hormone dans le lait et de son arrivée dans toutes les cellules du corps, et que si cette hormone est détruite dans l’estomac, ses avantages seront perdusPour confirmer cette hypothèse, les scientifiques ont mené une étude sur deux groupes d'êtres humains: le premier groupe consommait 12 onces de lait par jour et l'autre groupe consommait 24 onces du même lait autorisé par la Food and Drug Administration (FDA.L'analyse a confirmé que les membres du deuxième groupe augmentaient la proportion de l'hormone "IGF-1" (plus de 10% dans leur sérum) par rapport au premier groupe! ... Le Canada a découvert ce rapport et a donc refusé de prendre une hormone.rbGH pour le commerce dans la collection du pays.

 Résumé


·         Les résultats de recherches antérieures peuvent être résumés comme suit: le lait maternel est le seul lait qui convient à l’enfant et le lait de vache ne convient que pour les veaux (comme le lait de rat, le lait de jument, l’éléphant et d’autres animaux), Seulement.

·         Il est de règle constante que le lait maternel est le premier fondement sur lequel repose la nourriture d'un enfant, mais cette source n'est pas suffisante et suffisante lorsque l'enfant grandit et grandit, de sorte que les mères utilisent le lait de vache pour l'indemniser.

·         Des expériences menées dans des écoles de médecine internationales ont prouvé que le miel d'abeille naturel était meilleur que le lait de vache pour l'enfantLe miel est un désinfectant pour les intestins, doux . La meilleure utilisation du miel dans l'alimentation des enfants est une cuillère à café le matin et le soirDes études confirment que la proportion de lait, de produits laitiers et de viande ne devrait pas dépasser 8% des aliments quotidiens pour maintenir l'activité et la vitalité de l'organisme.

·         Les recherches montrent comment l'homme moderne a transformé le lait en un dépôt de maladies et d'épidémies, bien que ce soit un secret du pouvoir divin, car il passe du sang à la fécondation, comme mentionné dans le CoranDans des conditions de santé normales, le corps peut se débarrasser de ces substances toxiques normalement ... Cependant, le pourcentage élevé de pollution dans les sources de nourriture nuit à la capacité du corps à s'en débarrasser.

·         Selon les dernières études scientifiques, il existe un certain nombre d'indicateurs indiquant l'incapacité du corps à se débarrasser de ces substances. Elles apparaissent sur plusieurs images, notamment le ralenti, les maux de tête, la rugosité de la langue et le goût amer de la boucheSi la situation perdure, une nouvelle décision pourrait être prise pour empêcher les mères qui allaitent leurs enfants d’accomplir une mission aussi importante, comme ce fut le cas en Allemagne en 1980 à la suite de sources de nourriture polluantes.

Tableau indiquant le nombre annuel de décès aux États-Unis dus à des maladies liées au lait et aux produits laitiers

Maladie cardiaque causée par les graisses et le cholestérol
724 859
Blocage des vaisseaux sanguins et artériosclérose
158 448
La grippe et les maladies pulmonaires sont causées par un système immunitaire affaibli
91 871
Asthme et bronchite
112 584
Le cancer
541,532
Le diabète
64 751















Sources que j'ai traduit :
DTarek Cain, 2002Boire du lait .. Une menace pour votre santé!, Islam Online.
Consommation de lait et risque de mortalité et de fractures chez les femmes et les hommes: études de cohorte BMJ 2014;